The effect of different doses of synthroids on renal function is still under evaluation. We studied the effect of a dose of 100 mg of synthroids on renal function in healthy volunteers, taking normal oral doses of normal saline and sub-normal doses of synthroids. In a double-blind placebo-controlled, crossover study, we studied the effect of the synthroids in healthy volunteers on renal function. Our results showed a dose-dependent increase in renal function with the dose of 100 mg of synthroids. We conclude that the synthroids should be used for the first time in renal failure in patients with renal impairment.
The aim of the study was to determine whether the effect of synthroids on renal function was related to renal function.
The effect of a dose of 100 mg of synthroids on renal function was studied in healthy volunteers, taking normal saline and sub-normal doses of synthroids. The volunteers were assigned to the treatment group and the patients received normal saline and sub-normal doses of synthroids. In the double-blinded treatment, we studied the effect of the synthroids on renal function in healthy volunteers. In the sub-normal treatment, we studied the effect of the synthroids on renal function in healthy volunteers. In the sub-normal treatment, we studied the effect of the synthroids on renal function in healthy volunteers.
The rats in the treatment group and the patients received normal saline and sub-normal doses of synthroids. In the sub-normal treatment, we studied the effect of the synthroids on renal function in healthy volunteers. In the sub-normal treatment, we studied the effect of the synthroids on renal function in healthy volunteers.
The effect of a dose of 100 mg of synthroids on renal function was studied in healthy volunteers, taking normal saline and sub-normal doses of synthroids. In a double-blinded treatment, we studied the effect of the synthroids on renal function in healthy volunteers.
La prévalence de la synthroidie (ou SNC) varie de 3 à 5% dans les pays industrialisés [1]. Dans les pays plus développés, il y a de fortes chances que la SNC soit due à un taux élevé de TSH, l’hormone de la thyroïde, qui peut aider à lutter contre une anomalie de l’état de la thyroïde [2, 3]. Cette dernière présente plusieurs facteurs [4–6]. Le taux de TSH est de 0,7 à 1,1 microUI/L et la hormone de la thyroïde est de 0,4 à 0,6 microUI/L [7]. L’hypothyroïdie est liée à la diminution du taux de TSH, l’hypothyroïdie peut être liée à une réduction de la production d’hormones de la thyroïde et/ou à la présence de médiateurs dans la région de la thyroïde (voir tableau 1). La majorité des taux de TSH sont en excès dans les follicules pileux, la thyroïde est une sécrétion précaire de TSH dans les follicules pileux, et c’est environ 2 à 3 fois moins de TSH que l’hypothyroïdie [8, 9]. Les glandes surrénales sont plus fréquemment impliquées chez les personnes ayant déjà subi une intervention chirurgicale, et cette prévalence est l’une des principales causes de TSH sévère. En revanche, la TSH est une méthode préventive, et la hormone de la thyroïde est la plus fréquemment impliquée dans la région de la thyroïde [10, 11]. Par ailleurs, de nombreux facteurs peuvent également provoquer une TSH sévère, y compris une hyperthyroïdie, une hypothyroïdie, ou une hypothyroïdie réversible à l’arrêt du traitement, qui peut être liée à un traitement par chimiothérapie. L’hormone de la thyroïde et le taux de TSH sont associés à une augmentation de l’hormone de la thyroïde. Dans la population générale, le taux de TSH est de 0,4 à 0,8 microUI/L, et la hormone de la thyroïde est de 0,7 à 1,1 microUI/L [12, 13]. Les personnes à haut risque de TSH sévère ont des taux plus faibles de T4, de T3, de T4 et de TSH mais elles présentent un risque de TSH sévère. La plupart des études montrent que le taux de TSH sévère avec le taux de T4 est de 0,4 à 0,6 microUI/L et la hormone de la thyroïde est de 0,3 à 0,6 microUI/L [14, 15].
Cette étude porte sur de nombreuses femmes ayant des taux de T4 moyens ou de TSH élevés, ou à taux plus faibles, mais avec des taux de T4 de 1,3 à 3,7 microUI/L ou plus, il est possible de conclure que la TSH est la cause de la tératogénicité du taux de T4.